Outils utilisés par Lucien Auger
Bien que Lucien Auger ait introduit l’émotivo-rationnel à la francophone et au Québec, la paternité de l’approche revient au docteur Albert Ellis, Phd (http://www.albertellis.info). Cette page vous présente quelques outils de l’émotivo-rationnel qu’utilisait Lucien Auger - même si la plupart de ces outils ne sont pas de son invention.
Le modèle A-B-C est probablement l’un des outils de l’émotivo-rationnel le plus utilisé par Lucien pour expliquer comment les idées sont la cause de nos émotions. On retrouve ce modèle dans quelques-uns de ces écrits – dont s’Aider soi-même (1974).
Un second outil souvent utilisé par Lucien est la caractérisation des idées, c’est-à-dire en définissant ce que sont des idées vraies ou fausses (que l’on peut vérifier, quantifier, prouver comme étant fausses ou vraies) et les autres comme étant des idées douteuses.
La confrontation propose une méthode simple pour comparer des idées fausses ou douteuses avec la réalité. Dans son intégralité, la démarche comparait aussi l’état émotif de la personne avant et après la comparaison avec la réalité, dans l’espoir que l’état émotif de la personne se soit amélioré une fois ses idées mieux « alignées » avec la réalité. Cet outil était proposé sous forme écrite, mais il pouvait aussi s’utiliser en relation d’aide.
Pour la relation d’aide, Lucien favorisait la communication face-à-face plutôt que tout autre médium. Si la parole était l’outil de communication de l’aidé, l’outil de prédilection de l’aidant était naturellement l’écoute.
Lucien recommandait l’écriture aux gens comme outil de cheminement dans une démarche émotivo-rationnelle. Il croyait qu’il n’était pas suffisant de parler ou d’écouter ou de lire sur les émotions, mais qu’une démarche répétitive et soutenue d’écriture contribuait à changer ses idées.
À ce propos, Lucien propose une série de cahiers d’exercices dans la collection Microthérapie qui offrait aux gens une démarche en 21 jours pour changer ses idées sur un sujet précis (voir la section « Livres » pour les titres).
Le modèle A-B-C est probablement l’un des outils de l’émotivo-rationnel le plus utilisé par Lucien pour expliquer comment les idées sont la cause de nos émotions. On retrouve ce modèle dans quelques-uns de ces écrits – dont s’Aider soi-même (1974).
Un second outil souvent utilisé par Lucien est la caractérisation des idées, c’est-à-dire en définissant ce que sont des idées vraies ou fausses (que l’on peut vérifier, quantifier, prouver comme étant fausses ou vraies) et les autres comme étant des idées douteuses.
La confrontation propose une méthode simple pour comparer des idées fausses ou douteuses avec la réalité. Dans son intégralité, la démarche comparait aussi l’état émotif de la personne avant et après la comparaison avec la réalité, dans l’espoir que l’état émotif de la personne se soit amélioré une fois ses idées mieux « alignées » avec la réalité. Cet outil était proposé sous forme écrite, mais il pouvait aussi s’utiliser en relation d’aide.
Pour la relation d’aide, Lucien favorisait la communication face-à-face plutôt que tout autre médium. Si la parole était l’outil de communication de l’aidé, l’outil de prédilection de l’aidant était naturellement l’écoute.
Lucien recommandait l’écriture aux gens comme outil de cheminement dans une démarche émotivo-rationnelle. Il croyait qu’il n’était pas suffisant de parler ou d’écouter ou de lire sur les émotions, mais qu’une démarche répétitive et soutenue d’écriture contribuait à changer ses idées.
À ce propos, Lucien propose une série de cahiers d’exercices dans la collection Microthérapie qui offrait aux gens une démarche en 21 jours pour changer ses idées sur un sujet précis (voir la section « Livres » pour les titres).
Maj: 2018-05-13